Dans les coulisses: Ania Kinski - Accueillir une légende à sa limite
Cette semaine, l'invitée spéciale Ania Kinski nous emmène dans son sale petit esprit et discute de l'importance de sa base de fans.
Ania Kinski:
Maintenant, sans médias sociaux, nous n'existons pas. Il est donc vraiment important de mettre des histoires en coulisses, des vidéos en coulisses, des photos en coulisses, car les fans veulent être vraiment proches de nous. [Musique] Vous contrôlez toujours ce que vous partagez. Vous montrez à vos fans ce que vous voulez, je pense. Mais je pense que c'est vraiment important cette proximité avec les fans, car ce sont déjà eux qui achètent vos vidéos.
Bonjour? Letsdoeit les gars. Je sais. Je suis Ania Kinski. Je suis tellement contente, sur le plateau de Her Limit. C'est le légendaire ...
Mike Chapman:
Mike «Motherfuckin» Chapman !!
Nous tournons dans le studio Her Limit avec le producteur Alex Conti et Mike Chapman . Et, euh, aujourd'hui nous avons ... tu es magnifique. Wow, absolument incroyable. Alors, tout d'abord, sérieusement, euh, je veux vous poser quelques questions sur vous car je suis sûr qu'il y a beaucoup de choses que vos fans aimeraient savoir sur vous et je regarde votre Twitter et je vois que vous aimez vos fans. Vous faites attention à eux et vous prenez soin les uns des autres. C'est génial. D'accord. Que diriez-vous, euh, avant d'en arriver à votre histoire, passons à la partie commerciale. Que diriez-vous à une fille qui vient dans l'industrie, euh, sur la façon de gérer, euh, les médias sociaux?
Ania Kinski:
Je pense que c'est déjà important car les fans veulent être vraiment proches de nous, se sentir invités à nos tournages. Vous savez, même nos voyages personnels. Ou, lorsque nous sommes à l'hôtel ou au restaurant, ils veulent connaître notre vie.
Mike Chapman:
Mais voici la question. C'est leur putain de business?
Ania Kinski:
C'est aussi leur affaire. Ouais.
Mike Chapman:
Leurs affaires. Ce que vous faites quand vous ne tirez pas, c'est ça, c'est l'affaire des fans, votre vie quand vous ne filmez pas, c'est leur affaire. Aimez-vous partager votre vie personnelle?
Ania Kinski:
Ouais. C'est donc très important sans vos fans, vous n'existez pas. Vous n'avez donc pas d'abonnés. Ouais.
Mike Chapman:
D'accord. Euh, depuis combien d'années êtes-vous? Euh, je te vois regarder celui-là [Mike sort les menottes]
Ania Kinski:
Parce que je ne sais pas pourquoi, je me suis dit "je veux attraper ça", haha.
Mike Chapman:
Mais en fait, c'était un piège. Je l'ai mis là juste pour voir si elle allait voir les menottes. Vous semblez être le genre de fille qui a été menottée plus de quelques fois dans sa vie. Est-ce vrai? Avez-vous déjà été menotté dans votre vie? Et…
Ania Kinski:
J'aime ça, parfois
Mike Chapman:
Oh allez, ce n'est qu'une discussion générale, mais je veux parler d'une chose. Pour moi, je trouve que c'est ennuyeux. Parlez simplement du début de votre carrière, pourquoi vous avez commencé et tout, mais quelle est la chose que vous aimez le plus dans le fait d'être actrice? Désolé, d'être une actrice célèbre.
Ania Kinski:
Oh merci. Euh, tu sais, ce que j'aime c'est que c'est toujours une autre personne parce que ça tire, c'est différent, et je peux jouer, euh, des personnages, tu sais? Et j'aime ça. J'aime faire le tournage pour rencontrer, euh, les différentes personnes, les différents styles de sexe. Et j'aime ces différents types de sexe pour moi. Euh, pour moi, le tournage est comme une aventure.
Mike Chapman:
D'accord. Une aventure. C'était comme une aventure. D'accord. Bienvenue à Disney World, salope, haha.
Ania Kinski:
Non non, haha.
Mike Chapman:
Eh bien, une aventure aujourd'hui. On va tourner, on va tourner, euh, quel genre de scènes pour Letsdoeit?
Ania Kinski:
Je pense que ça va être ma scène Her Limit .
Mike Chapman:
Et le sexe interracial?
Ania Kinski:
Euh, ce n'est pas un problème pour moi. Je ne sais pas pourquoi on dit sexe interracial. Blanc ou noir, je prends tous les mecs!
Mike Chapman:
Oh mon Dieu!
Regardez Ania Kinski aujourd'hui dans sa scène Her Limit la mieux notée ici .
